Citations de Bourvil: 166 Répliques cultes (Audio) - page 12

Bourvil Les meilleures phrases cultes de Bourvil (André Raimbourg), notées par les internautes, extraites en mp3 de ses films les plus célèbres.

111 hé ben dites donc heureusement que vous avez du réflexe!

Bourvil dans La grande vadrouille (1966)

112 Non! On peut gagner de l'argent comme ça...?

Bourvil dans Le Corniaud (1965)

113 C'est terrible d'avoir deux femmes qui vous aiment! -C'est tout d'même moins terrible que de n'pas avoir du tout! Hein? Hé-hé...

Dans le rôle de Jérôme Badinguet pour Cadet Rousselle (1954)

114 Non, mais c'est parce que tu es devenu un homme, sans que je m'en aperçoive.

Bourvil dans Le Chemin des écoliers (1959)

115 Cette voiture, j'en avais tellement envie que je finis par l'avoir.

Bourvil dans Le Miroir a deux faces (1958)

116 Mais si je changeais de tête, ma pauvre mère aurait le droit, elle, de me demander ce que j'ai fait de son fils?

Bourvil dans Le Miroir a deux faces (1958)

117 La voila la chirurgie esthétique. Une malheureuse starlette qui voulait changer de nez. Résultat, les os qui pourrissent, le visage qui tombe en charpie.

Bourvil dans Le Miroir a deux faces (1958)

118 Antoine, portatemi via. Via? Où ça? Chez moi?

Bourvil dans Le Corniaud (1965)

119 Ne craignez rien, il vient de dîner! Ha-haa! Et comme il adore les enfants, on lui a mis une muselière!

Dans le rôle de Jérôme Badinguet pour Cadet Rousselle (1954)

120 Oui, vous verrez le plus fameux avaleur de sabres... avaler un sabre! Non! Pour l'instant, j'ai pas faim... Ha-ha-ha! Ce sera pour ce soir, n'est-ce pas?

Dans le rôle de Jérôme Badinguet pour Cadet Rousselle (1954)

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