L'École des contribuables : répliques marquantes (MP3)

L'École des contribuables (1934) — répliques (MP3) & sonneries — page 2

Écoutez les meilleures répliques du film L'École des contribuables (1934) que vous pouvez télécharger en MP3/WAV.

Acteurs (voix): Armand Bernard (Gaston Valtier), Paul Pauley (Émile Fromentel), Mireille Perrey (Juliette Valtier), Pierre Larquey (Menu), Pierre Stephen (Giroux)

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11 Le contribuable n'est pas un mouton. On peut lui prendre un peu de sa laine, mais non pas le tondre à tort et à travers.

12 Mais on ne parle de rien alors? -On peut parler, mais il est inutile d'être bavard. -Ah, parfaitement, oui.

13 Mon gendre, vous négligiez votre femme. Mon gendre, vous allez être cocu. -Encore?

14 Oh, non, mon enfant, je ne suis ni triste, ni gai, ni bien portant, ni malade. Quand le destin s'acharne sur un homme avec une certaine insistance, il tombe dans un état complet d'insensibilité.

15 Oui. Deux fois, je vous ai annoncé ça avec joie. Mais à présent, c'est avec tristesse, car je suis votre associé.

16 Petite polyglotte. -Polyglotte? C'est possible, monsieur. Mais pas avec tout le monde.

17 Ton mari, travailler même le dimanche. Jamais un fonctionnaire n'aurait fait cela. Je n'ai connu qu'un qui a essayé une fois. Il en est mort.

18 Vous faites à votre valet de chambre une vente fictive de votre propriété. Il en fait un hôtel, le Neuilly Palace. Il vous loue toutes les chambres, 10 francs par jour. Vos domestiques deviennent les employés de l'hôtel et vous, un client de passage.

19 Alors, tu ne peux pas venir déjeuner avec moi? -Mais mon petit oiseau chéri, je te jure que c'est impossible. D'ailleurs, tiens, regarde, voilà mon déjeuner.