Citations de Le Corps de mon ennemi

De toute façon ça ne changeait rien parce que rien ne changera jamais dans cette ville, qui n'est pas une ville, mais un temple élevé à la prospérité et à la grandeur du textile.

10 secondes chrono sample. Réplique culte sonore extraite du film Le Corps de mon ennemi.

Vous pouvez écouter cette réplique a 00:12:42 dans la version DVD du film.

Dialogue complet

[...]

- Et puis, un matin, en arrosant ses plantes... Flac!

- Tout ça a bien changé.

- L'expansion, mon vieux. On vit à l'heure américaine.

- Et il n'y a pas que la ville qui a changé, mais les gens aussi. Tu ne vas plus rien reconnaître, mon pauvre François.

- Tiens, même moi, si je reste 6 mois sans aller dans un quartier, je ne m'y retrouve plus. Ça pousse tous les jours.

- Si je te disais que la population a presque doublé.

- Deux fois plus de cons. Ça paraît impossible.

- De toute façon ça ne changeait rien parce que rien ne changera jamais dans cette ville, qui n'est pas une ville, mais un temple élevé à la prospérité et à la grandeur du textile.

- Ailleurs, c'est le sucre, le pinard, le pneu, le nougat, la bagnole. Ici, c'est le textile. Personne n'y échappe.

- On ne vit que par et pour le textile. De la naissance à la mort. Le textile à perpétuité.

- Le textile et le football. L'usine en haut, le football en bas.

- L'usine pour l'argent, le stade pour l'honneur.

[...]

Citation de Le Corps de mon ennemi

Le Corps de mon ennemi - affiche

Les meilleures citations audio du film "Le Corps de mon ennemi" (1976).

Acteurs (voix): Jean-Paul Belmondo (François Leclercq), Bernard Blier (Jean-Baptiste Beaumont-Liégard), Marie-France Pisier (Gilberte Beaumont-Liégard)

Genre: Comédie

Date de sortie: 1976

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